perou

obrigado! la tit val....:)mercie atoa pour nous faire partagée ton éxperience mistique!
se projetée au dela de soie c'est grand!tres grand! dire que j'en suis qu'à sentir les vibrations des gens et avoir mon libre arbitre..........
http://tortuga.usebynet.com/bricbrac_detail.php?id=6
toujours le calendrierINCA...........trouve ton kin

DLKToi a écrit:

obrigado! la tit val....:)mercie atoa pour nous faire partagée ton éxperience mistique!
se projetée au dela de soie c'est grand!tres grand! dire que j'en suis qu'à sentir les vibrations des gens et avoir mon libre arbitre..........
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yes, bon c'est pas encore gagne...on verra, maintenant, il faut faire l'experience..
c'est deja bien de chercher a sentir les vibrations des gens...si tout le monde se posait la question ca serai bien cool...

sinon, ton site, je le cherchait depuis longtemps, tu n'en connait pas d'autres qui donne plus d'explications ??? par hazard...

salut la tit val pour pas fair nawak dans les rubriques je t'est mie des liens dans la rubrique °*free Zone*°
:violet!: pour les Fx c'est rubrique boOM féstival...................lol!

LE GRAPHISME DÉCORATIF DU PEUPLE SHIPIBO-CONIBO

La pensée shipibo est métaphorique, elle procède par analogie et établit un lien étroit entre toutes choses.
Les dessins qui ornent les poteries et les divers objets de leur artisanat, des broderies de leurs vêtements traditionnels à leur maquillage lors des fêtes et cérémonies, relèvent d'une représentation de maillages,
de réseaux, de labyrinthes propre à leur culture.
Le graphisme de l'artisanat correspond aux dessins dont est ornée la peau de l'anaconda.
Pour les Shipibo, l'anaconda est à l'origine de la création et représente l'esprit de l'eau.
Dans le chamanisme de la région de l'Ucayali, on désigne les dessins des broderies et des décorations par le nom de "Ronin" qui signifie l'anaconda. On peut penser que ce symbole correspond à l'origine du vivant.
Ces dessins sont très spécifiques de ce peuple de la forêt amazonienne.
Transmis par imitation, de génération en génération, on pourrait penser à un langage permettant aux Shipibo de communiquer entre eux ou de se reconnaître comme appartenant à la même ethnie.
Lorsque l'on regarde avec attention ces dessins très typés, lesquels sont à chaque fois différents, variés à l'infini par leurs auteurs, on est frappé par l'aspect vibratoire de l'ensemble de chaque representation.
Ceci est rendu particulièrement sensible au niveau des broderies et des tissus peints qui nous font découvrir
de véritables tableaux abstraits,sauf si l'artisan, et j 'aurais plutôt tendance à dire l'artiste, inclut la représentation d'un animal ou des formes géométriques précises
On peut aussi penser que l'aspect vibratoire du résultat final est une résurgence du monde, ô combien mouvant et vibrant, auquel accèdent les Shipibo dans leurs visions lors de la prise de la plante psychotrope
Ayahuasca, pratique pour eux assez courante, séculaire et donc inscrite dans leur mémoire cellulaire.
Il est intéressant de préciser que ces dessins se font à main levée et que l'on ne suit pas un modèle préétabli,
.
A travers une certaine imperfection dans la réalisation des "œuvres" de ce peuple on peut en déduire une indifférence
envers la perfection et une insoumission à un modèle imposé, qui rendent ces ornements frémissants de vie.


On pourrait comparer cette façon d'aborder leur art à celle des jazzmen ou de tout musicien qui improvise,qui se soucie plus de ce qu'il vit dans l'action, "du faire", plutôt que dans la recherche de perfection
de l'interprétation d'une œuvre écrite, pensée par un compositeur.
Ce peuple de chasseurs - pêcheurs a toujours vécu au jour le jour, préoccupé par le souci de trouver sa nourriture journalière, vivant dans l'instant présent, ne se projetant guère dans l'avenir.
Sans doute que vivre dans le présent, confronté aux nécessités prioritaires de survie, aiguise l'attention à l'environnement mais aussi incite davantage à "être", plutôt qu'à se projeter dans des désirs futurs.
Leur tradition est orale, que ce soit leurs chants, leurs danses, leur artisanat, leurs mythes ainsi que
leur connaissance très étendue des plantes médicinales, acquise au cours de siècles d'expérience
et de recherche, et c'est bien là ce qui fonde leur identité.
la culture traditionnelle du peuple Shipibo-Conibo sert de fondement à la culture moderne de l'Amazonie. Dans La Grande Encyclopédie de l'Ucayali est émit l'hypothèse que le système culturel complexe des indiens d'Amazonie serait essentiellement chamanique et que la clef de voûte de ce système serait l'Ayahuasca, la plante mère de toutes les plantes médicinales de la Selva.
Dès l'aube du peuplement amazonien les cultures et civilisations anciennes font interagir le monde
matériel avec le monde spirituel avec comme intermédiaire et comme stimulant l'Ayahuasca.

Ainsi naquirent rituellement les mythes des origines, les chants et les danses, la pensée et la connaissance indigène sur la nature à travers la perception du génie des plantes sacrées,
entre autres l'ayahuasca, la chacruna, le chuchuhuasi et bien d'autres plantes médicinales et psychotropes.
Dans cette matrice se développent toutes les possibilités d'un art et d'une culture amazonienne.

:violet!: l'ayahuaska. :violet!:

Ce breuvage traditionnellement utilisé par presque toutes les ethnies d’Haute-Amazonie est issu de la décoction prolongée de deux plantes différentes : la liane de Banisteriopsis caapi et les feuilles de l’arbuste Psychotria viridis.
Le mélange de couleur marron et fortement amer contient de nombreux alcaloïdes psychotropes qui agissent de manière synergique et dont les plus importants sont la diméthyltriptamine (DMT) et des composés de la famille des béta-carbolines tels que l’harmine et la tétrahydroharmine (THH)1.


Les scientifiques continuent de se demander comment des Indiens sans écriture, ni techniques d’investigation formelle, par ailleurs immergés dans une extrême biodiversité, ont pu trouver une telle préparation, car seule l’association savante de deux plantes, l’une potentialisant l’autre, permet d’obtenir des effets psychotropes

. quasiment tous les peuples dits primitifs ont recherché et trouvé le moyen d’extraire des composés psychotropes de leur environnement végétal.

L’ayahuasca générerait des visions imaginaires sans commun rapport avec la réalité. Or ce n’est pas du tout le point de vue des utilisateurs traditionnels de l’ayahuasca dont la conception de la réalité et de l’illusion est fort différente de la nôtre. Pour eux, l’ayahuasca leur ouvre des portes d’une réalité « plus solide » ou « plus complète » que celle que nous laisse entrevoir nos sens à l’ordinaire.
:ailes:
De fait, tous les Occidentaux qui ont expérimenté ce breuvage vous diront avoir ressenti « des modifications de la conscience de soi et une transformation des rapports avec le monde »4, sentiments fort éloignés d’une confusion mentale à l’égard des personnes, de l’espace ou du temps.



C’est cette expérience vécue qui a poussé bon nombre d’auteurs à proscrire les termes « hallucinogène », « délirogène » ou même « psychédélique » pour leur préférer « enthéogène » (générateur d’un sentiment divin à l’intérieur de soi), « adaptogène » (favorisant l’adaptation à l’environnement) ou encore « empathogène » (améliorant le contact avec les autres).
:violet!: :ailes:

La bataille des mots est loin d’être innocente. Car ceux qui rejettent ces nouvelles terminologies sont précisément ceux qui se refusent à expérimenter sur eux-mêmes un tel état...


Quel est donc ce fameux état que nous venons de décrire en terme de modifications neurobiologiques ? Il est commun de l’appeler transe, mais l’on pourrait tout aussi bien parler d’état second ou même d’état modifié de conscience (EMC).

Des phases d’hyperexcitation et de catalepsie extatique se succèdent dans des proportions variables d’un sujet à l’autre. Les sens se trouvent décuplés. Le cours de la pensée semble accélérée, le sujet est « ailleurs ». Ces changements tant perceptuels qu’émotionnels conduisent la psyché à construire des significations nouvelles de la réalité. C’est là que l’on peut parler de « visions » comme étant le résultat d’une réinterprétation de la réalité lorsque les cadres psychiques ordinaires sont relativisés, voire même abolis.

La transe vécue comme une expérience hors de soi (OBE) conduit à sentir le monde différemment, un peu comme si notre réceptivité s’en trouvait modifiée. :violet!:

Les chamans amérindiens en parlent avec leurs mots :

« Pour comprendre (le monde), il faut prendre la Grand-Mère Ayahuasca »
« Elle est une plante enseignante, intelligente, maîtresse »
«Elle travaille en moi. Tout ce que je dis vient de la plante. C’est elle qui me l’a appris »
« Elle permet de voir le corps en transparence et de localiser une zone opaque, siège de la maladie »
« Elle fait venir à moi les plantes qui conviennent à mon patient »

Enorme, merci pour ces récits instructifs

J'attends la suite !!!

voila enfin les premiere tof, "sur la route de l'ayahuaska"


cest parti pour la jungle..vamos avec un motocaro, moi, mon cheri, et le chaman...


entree dans la las chakras..la pleine jungle


decouvrete de l'ayahuaska, une liane enorme, premiere fois que 'on en voyai une aussi grande (desol, les tof sont un peu sombre)



maestro grimpe a l'abre pour decrocher la liane


mon homme, sur son doit le fameu papillon, gardien de la liane magique


coupe de l'ayahuaska


les enseignement de antonio, notre chaman..


nous en amazonie...

s'est vraiment le kiff cette las chakras...........;)

:star: mission jungle :star:

nous partons dans la jungle avec notre chaman, afin de faire une grosse diete (sans sel) pour apprendre l'ayahuaska, pour nous enseigner son savoir, il doit nous envoyer sur ses terres, a 6 jours de bateau de la ville...

mais, suite a un probleme de carburateur, nous revoila a pucalpa apres 1 semaine de periple, et deja, beaucoup de choses a raconter...

nous somme 4 a voyager, moi, kenchan, antonio (chaman de 76 ans) et julio 80 ans...quel bonheur de faire la route avec eux, ces petit vieux ont garde leur ame d'enfant, et on a beaucoup a aprendre d'eux...et on se fend bien la gueule...

nous avons navigue 5 jours, a remonte la riviere entoure des dauphin est d'oiseau de toutes les couleurs, dans un paysage plus que mystique..

le premier jour nous avons dormi sur une plage, dresse la moustiquaire allume un feu pour cuisiner l'eau de la riviere (pour tuer les bacteries)
la couleur du ciel rose mauve avec des envolee de milliers d'oiseau qui passaient au dessu de notre bateau...magique...!!!

le 2eme jours, les probleme de moteurs commencent,et nous tombons en panne juste quand un orage arrive...coup de chance nous somme juste devant une communaute de shipivo...ils nous accueillent les bras ouvert, nous offrent a manger et nous indique un endroit ou on peut poser la mousquitaire a l'abri de la pluie..nous discutons beaucoup avec le chef, il nous dis que sa communaute n'a que 2 ans, et qu'il manque encore beaucoup de choses, comme une ecole, la structure existe, mais il n'y a aucun materiel, aucun livre, cahier, crayon...et malgres le nombre d'ong presente au perou, aucune ne leur vien en aide, car,tout le monde dit que la jungle c'est dangereux, qu'il y a des bandit ..patatipatata, ne viennent pas jusque la....alors, j'ai de suite pense a l'assos de anabel (mirabel=miravisu des epsylonn), dont je fait partie "agalon"(=qui vient du coeur en breton), et je compte voir avec eux si on peu leur venir en aide..comme 100-150 euros devrai largement suffir pour qu'ils puissent eduquer leur enfants...a voir...

3eme jours, nous repartons, au bout de quelques heures de voyage, le moteur nous refait des siennes, nous somme en face du petit village de porto alegre, et, maestro, qui vivait la il y a 40 ans de ca nous amene a la maison de ses amis en face du village, de l'autre cote de la riviere, tres aimable, nous invite a manger, et nous indiquenet une grange pour y dormir (rempli de cafard et de sankudo=moustiks enormes qui te pique a travers tes jeans....cool..hehehe)

le lendemain on repart, mais une heure apres avoir demare, le moteur nous lache, definitivement, heureusement que nous ne sonne pas loin, nous nous laissons porte par la riviere, tranquillement (toujours entoure par les dauphins et les oiseaux), jusqu'a la maison des amis de antonio...nous y resterons 2 jours, le temps de reparer le moteur...la senora m'offre des dents d'aniamux, des queue seches, des graines...peche et chasse..nous mangeons super bien, que des produits naturel, cuisine de facon la plus simple possible...hummm, un grand retour aux sources..

puis au bout de 2 jours, nous repartons, on navigue quelques heures, et la le moteur nous lache, c'est termine pour lui et pour nous aussi..hehe...en meme temp, l'orage arrive, et quel orage, des corde et des cordes, nous sommes dans notre petite barque sans toi, abrite par une bache avec nos bol pour vider l'eau de pluie du bateau...coup de chance encor, il y a une maison juste a cote, antonio va voir si ils n'on pas des pieces de moteur, ou des outils pour reparer..ces gens nous offrent l'hospitalite, une fois de plus...c'est pas en france que ca arriverai tout ca...je leur fait des boucle d'oreil aux jeunes fille en guise de remerciement, eux me ramene des graine de toute sorte, nous font gouter a la viande du coin..hummm, un vrai regal cette viande sauvage...

le lendemain, nous reparton kenchan et moi en bateau collectif, 12 heure de bateau jusqu'a pucalpa, parmis les taureau et les poules...nous faisons connaissance avec nos nouveau compagnon de route...et nous revoila a pucalpa...j'ai l'impression d'etre partie 2 mois...completement deconnecte

nous avons achete un carburateur neuf, de l'huile de moteur, et nous revoila pret a demarer, on repart demain en bateau collectif a 18h d'ici (car a contre courant)...comme tu vois l'aventure n'est pas fini, loin de la...en tout cas c'est un tres bon exercice de patience (vu que l'on ne va pas vite du tout), meditation, surpasser l'incomfort(la pluie, la boue, les moustik, le soleuil de 40 degres...) mais que du bonheur...

la suite ? bientot !!!
:souri bleue:

:star: :star: :star: :star: :star: :star:

aaaa l'amazonie
ca doit être trop terrible !!!

:poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin: :poussin:

même si g paur des insectes...et oui surtout ceux qui volent et pis certains qui rampent et pis ceux qui font rien et pis....

raaaaaaaaaaa là là là là
tu me fai tro rêver tit val!!!!!!!!!!
profite bien de tout ça, on attend la suite avec impatience!!!!

:poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini: :poussin: :mini:

nous voila de retour....bon on peut dire que ce periple ne c'est pas deroule comme on le desirait, mais nous n'en tirons que du positif...

nous somme reparti pour panuco, en bateau collectif, mais plutot que de faire 18h de bateau , il y avait une solution "normalement" plus rapide, qui est de s'arreter a massisea, a 4h de bateau, et de rejoindre puerto alegre a 3/4 d'heure de mototaxi...et de la choper un bateau qui nous enverrai a panuco a 2h de route...
arrive a massissea, apres avoir traverse les plantations de bananes sous un soleil de plomb, nous voila arrive au bourg...nous parlons avec les motocariste, mais aucun ne veut aller jusqu'a puerto alegre, car, avec les pluies, ils disent que une riviere vien de se creer en travers de la route, ce que empeche tout vehicule de passer (seulement en barque)..du coup, ca nous fait 3-4h de marche...AHHHHHH...les booles..finalement, un mec nous dit qu'il y a moyen, mais que c'est pas gagne... effectivement, au bout de 1/2 de route en pleine jungle (magnifique), nous arrivons en face de la petite riviere, elle n'est pas tres large, mais suffisement pour empecher tout vehicule de passer...avec des planches de bois nous fabriquons un pont improvise, v'la le travail...
puis apres avoir passer d'autre nombreux pieges (boue, trou, branche d'arbres....) nous y arrivons enfin...manque de bol, on vien de louper le bateau..ahhh...apres une attente de 6h, et s'etre fait bouffer par les moustique, le bateau arrive enfin et nous lache a panuco...maestro nous attendait, et bien heutreux de nous voir arriver...

le lendemain, le moteur repare , nous repartons...!! le soir nous arrivons dans un bled, ou les 3/4 des gens sont des fabricant et traficant...truk de malade, ils sont tous tare, ont des armes...hummm...vaut mieux faire pote avec eux si tu veux pas te recevoir une balle dans la tronche...

puis c'est reparti...nous n'allons pas vite, la riviere est dangereuse, car elle est en pleine crue, il y a des tourbillons et embarque des rondins de bois, branches, ce qui peut nous faire chavirer a tout moment...les nuits sont tendue aussi, la pluie nous reveille a chaque fois (car seuelement abrite par une mouskitaire), et la crue, petit a petit fait disparaitre les plages, ce qui nous force par la suite a dormir dans ce petit bateau.....la pluie nous empeche de faire un feu de bois pour cuisiner, et impossible de chasser, nous mangeons de la farina c'est comme de la semoule en moin bon, avec du sucre et de l'eau... apres 3 jours de voyage, nous arrivons enfin au site...nous nous poseons la bas 6 jours, aprentissage des tarot pour dire l'avenir, repos (bien merite), et enfin nous buvons l'ayahuaska...GENIAL..les visions arrivent, je vois en premiers, un aigle ses griffes pleines de sang qui m'attaque...puis, mentalement je decide de passe cette vision qui n'est pas top..l'aigle se transforme en phoenix, puis tout plein de couleures arrivent...c'est etranges, ce n'est pas des allucinations, c'est des visions que tu vois autant les yeux ouver que feme..je demande a grand mere ayahuaska de me nettoyer mon corp et mon ame...tout se passe bien, avec en fond le bruit des animaux, ce qui fait penser a une musique repetitive..MAGIQUE...puis maestro est victime d'un ataque, de magie noire(chose qui peu se faire par un autre chaman a distance).., je pense que la vision de l'attaque de l'aigle me mettait en garde de cette attaque....il vomi et se tord dans tout les sens il nous demande de l'aider...puis petit a petit il va mieux...l'effet de l'ayahuaska se dissipe au fil des heures..

2 jours plus tard, nous partons pour retourner a la ville....et oui, deja..en effet maetro doit voter le 19..au perou, le vote est obligatoire...sinon ils payent une amende...c'est raparti..

une nuit nous somme heberge par une famille...il nous offrent le repas, du cerf et nous demandent si on veux regarder un film ( grace a un groupe electrogene ils ont l'electricite) et a notre grande surpise, ils font peter un vieux film de cul...et tous regardent de maniere tres serieuse...le delireee...ahahahaha
puis vien le manque d'essence...nous troquons le reste de cartouche contre de l'essence...arrive a puerto alegre, nous sommes a sec...nous decidons alors de rentrer moi et mon homme en collectivo , et de leur envoyer par la suite de l'essence par collectivo, afin qu'ils puissent rentrer a temps pour les elections....
et voila la fin de ce periple

nous repartons dans 1 ou 2 semaines pour une duree de 1-2 mois...maintenant, nous savons bien comment un voyage de se genre se deroule, de quoi nous avons besoin, genre un moteur neuf, tres important..hehehe...

cette experience est bien raide, mais nous a appris plein de choses sur nous meme et nous a bien renforce sur le plan physique et psychique...

Enorme, ca me donne encore plus envie

SALUT la tit val, une foi de plus c'est comme si ont y était!
mercie pour le partage...

In’lakesh!

raaa merci la tit val!!!!!
ca donne envie de barouder tt ca!!!!!!!

:pkjopl:

avec les membres d'agalon, la decision a ete prise d'aider cette communaute shipivo, qui s'appelle san juna de miraflores.

c'est une communaute qui compte 139 habitants, dont 60 enfants (et oui, la natalite au perou est tres eleve). cette communaute existe seuleument
depuis 2ans. ils ne recoivent aucune aide car comme c'est assez eloigne de la ville, et qu'elle n'est pas evidente a remarquer, peu de gens sont au courant de son existance. de plus, le gouvernement peruvien etant tellement corrompu que pour trouver l'argent ce n'est pas evident.

le projet est de les aider a avoir la possibilite de donner une bonne education a leurs enfant.
nous nous sommes rendu samedi dernier a la communaute a 5h de bateau, moi, 2 japonais qui participent egalement au projet et un peruvien pour nous accompagner (par mesure de securite, dans cet endroit, c'est assez dangeureux, il arrive que des bandit, voleur vienne et te braque tout ce que tu as, voir te tue pour presque rien, alors nous, etranger, on doit faire encore plus attention, car en nous, ils ne voient pas un humain, mais une montagne de dollards.)

nous trouvon enfin ernesto, le chef de la communaute...trop heureux de nous voir revenir...
nous nous dirigeons directement vers l'ecole ...
c'est clair...on ne peux pas tro parler d'ecole...tout est a faire...et pour 60 enfant c'est sur que c'est loin d'etre suffisant !!!
puis nous restons quelques heures a parler du projet...a voir ensemble quelles sont les priorites, et comment s'organiser.


la priorite est deja de s'occuper de ce batiment, de le rendre fonctionel, ainsi, de pouvoir enseigner aux plus petits...de 3 a 7ans.
les dons a-galon serviront a acheter le plus de fourniture scolaires possible.
mon amie japonaise ,elle, ayant plus de moyen, a un projet a plus grande echelle. il y a le projet de faire 2 autres batiments, par la suite, pour les plus grand . elle s'occupe d'acheter du bois, afin de realiser des tables et des chaises, des feuilles pour faire le toit.. elle a egalement l'idee de realiser un projet de devellopement durable en les aidant dans la construction d'une pisciculture afin qu'ils aient une ressource, une monaie d'echange ( afin de regler les probleme de santes par exemple)

nous nous rendons lundi au conseil regional de l'education, afin de rencontrer le president, pour parler de ce projet, afin qu'ils leurs envoient des professeurs. notre presence fait bien evoluer les choses, et il nous dit que pour mars, il faut que tout soit pret, il va sur place pour voir l'evolution de la chose et de la envoi des professeurs...esperons !!!

puis, nous sommes alles acheter les fournitures scolaires pour les plus petit de 3-7, seul eux seront scolarise des cette semaine car pour l'instan , sans professeur, il est difficil d'enseigner aux plus grand!!....

cahier, crayon, crayon de couleures, gomme, regle, table de multiplication (les enfants vont me detester je le sens...hihihihi) carte du monde, du perou, hygiene, histoire des incas...petit tableau noir, craies...
c'est un debut...le projet reste a suivre, il reste la moitie des dons agalon...c'est garde de cote, ca servira pour les plus grand par la suite !!!

photo a venir

http://www.unicef.org/saotome/zatona/unicef.htm

aide au devellopement local et durable

http://www.unicef.org/saotome/zatona/index.htm

yes, merchi biocou pour ton aide cher dlktoi!!!

http://arutam.free.fr/Ayahuasca.html

http://terresacree.org/ayahuasca.htm

sites internet qui offrent une descrition assez complete de l'ayahuaska...

merci merci
de nous faire rever
tu est uen vrai reporter tit val
on s'y croirai